Gestion de crise: jusqu’où doit-on considérer l’éthique personnelle d’un dirigeant d’organisation dans le cadre d’un plan de gestion des risques ?
Trois chercheurs américains ont envisagé la possibilité qu’un dérapage éthique – abus de certaines substances, violence physique ou psychologique, écart de conduite de nature sexuelle, ou encore malhonnêteté caractérisée – soit un signal d’alarme dont il faudrait absolument tenir compte, car avant-coureur de véritables périls à venir pour l’entreprise-même.